L'ultime but de l'existence de l'homme, 6 me partie
L'ultime but de l'existence de l'homme :Le choix de la « raison » et le choix de la « foi », 6 me partie
Le choix de la « raison » et le choix de la « foi » :
Le concept du choix peut être établi sur le fondement de la « raison » comme sur le fondement de la « foi ».
La « raison » renvoie au raisonnement conscient des choses alors que la « foi » signifie la capture directe d'une chose, sensible ou intelligible.
Ces deux sens du choix sont introduits dans ce travail en tant que moyens.
Car pour déterminer sa décision l'individu peut avoir recours à l'un ou à l'autre moyen, voire aux deux en même temps.
Si nous acceptons ces critères comme moyens de jugement et de compréhension, nous pouvons procéder à l'étude de la notion du « choix » dans la pensée philosophique d'une sélection de penseurs.
Deux classifications émergent : La première est le choix de croire et la deuxième le choix de ne pas croire en un créateur cause.
Nous tenons toujours dans la démonstration des nos propos à l'idée selon laquelle le penseur, philosophe ou scientifique, artiste ou homme des lettres, est en constante confrontation avec l'univers, mais également avec son incapacité à l'expliquer.
La rencontre de Laplace avec la découverte mathématique est exactement le point où l'on doit trancher entre croire ou ne pas croire en Dieu.
Selon l'attitude de l'individu, ici le philosophe, on peut classer la personne comme croyant ou mécréant en un créateur cause.
Ce point de rencontre entre l'esprit et l'univers et le point de croisement qui déclenche l'attitude de l'individu.
La pensée métaphysique, ainsi que la religieuse, qui touche le transcendantal est la croyance individuelle, personnelle et non vérifiable du penseur.
Ce point de rencontre entre l'esprit et la matière, où le sensible ou même l'intelligible, est un point de départ pour le choix.
Notre travail ici est d'observer et d'étudier ce point de rencontre qui est le point de départ pour la décision de choix.
Nous ne traiterons pas des conséquences du choix sauf pour renvoyer aux attitudes d'un penseur, une fois qu'il s'est déterminé à choisir.
Notre étude a donc comme point focal le point de la confrontation entre l'homme et l'univers, qui est également pour nous le moment où il entreprend de décider.
A partir d'une attitude personnelle vis-à-vis de la même rencontre, le penseur peut s'inscrire dans l'une ou l'autre posture. Par exemple Kant, en rencontrant l'idée de la morale conclut à l'existence de Dieu cependant que Nietzsche rejette la morale et donc l'idée de Dieu.
Le choix de la « raison » et le choix de la « foi » :
Le concept du choix peut être établi sur le fondement de la « raison » comme sur le fondement de la « foi ».
La « raison » renvoie au raisonnement conscient des choses alors que la « foi » signifie la capture directe d'une chose, sensible ou intelligible.
Ces deux sens du choix sont introduits dans ce travail en tant que moyens.
Car pour déterminer sa décision l'individu peut avoir recours à l'un ou à l'autre moyen, voire aux deux en même temps.
Si nous acceptons ces critères comme moyens de jugement et de compréhension, nous pouvons procéder à l'étude de la notion du « choix » dans la pensée philosophique d'une sélection de penseurs.
Deux classifications émergent : La première est le choix de croire et la deuxième le choix de ne pas croire en un créateur cause.
Nous tenons toujours dans la démonstration des nos propos à l'idée selon laquelle le penseur, philosophe ou scientifique, artiste ou homme des lettres, est en constante confrontation avec l'univers, mais également avec son incapacité à l'expliquer.
La rencontre de Laplace avec la découverte mathématique est exactement le point où l'on doit trancher entre croire ou ne pas croire en Dieu.
Selon l'attitude de l'individu, ici le philosophe, on peut classer la personne comme croyant ou mécréant en un créateur cause.
Ce point de rencontre entre l'esprit et l'univers et le point de croisement qui déclenche l'attitude de l'individu.
La pensée métaphysique, ainsi que la religieuse, qui touche le transcendantal est la croyance individuelle, personnelle et non vérifiable du penseur.
Ce point de rencontre entre l'esprit et la matière, où le sensible ou même l'intelligible, est un point de départ pour le choix.
Notre travail ici est d'observer et d'étudier ce point de rencontre qui est le point de départ pour la décision de choix.
Nous ne traiterons pas des conséquences du choix sauf pour renvoyer aux attitudes d'un penseur, une fois qu'il s'est déterminé à choisir.
Notre étude a donc comme point focal le point de la confrontation entre l'homme et l'univers, qui est également pour nous le moment où il entreprend de décider.
A partir d'une attitude personnelle vis-à-vis de la même rencontre, le penseur peut s'inscrire dans l'une ou l'autre posture. Par exemple Kant, en rencontrant l'idée de la morale conclut à l'existence de Dieu cependant que Nietzsche rejette la morale et donc l'idée de Dieu.